Sous délégation des autorités, le refuge a exceptionnellement accueilli un écureuil ainsi que deux chardonnerets saisis dans le cadre d’une détention illégale. Afin de ne pas imprégner les animaux, il était nécessaire de les relâcher le plus rapidement possible (sous 48 h) après un passage en clinique vétérinaire pour confirmer leur bon état de santé.

💡 Le saviez-vous ?
Un animal relâché est toujours accompagné : dans la zone environnante, de la nourriture a été dispersée ou cachée afin de lui permettre de se réapproprier son environnement.

Vous êtes témoin d’une situation dans laquelle un animal de la faune sauvage locale est en difficulté ? Voici à qui vous adresser :

👉 Suspicion de détention illégale :

Signalez la situation à l’OFB, à la gendarmerie la plus proche ou à la direction départementale des services vétérinaires (DDCSPP).

👉 Découverte d’un animal grièvement blessé ou en détresse :

Limitez au maximum les manipulations pour éviter tout risque de blessure ou de transmission de maladies. N’emportez pas l’animal chez vous pour le soigner.

Adressez-vous à un centre de protection de la faune sauvage : https://www.reseau-soins-faune-sauvage.com/faune-sauvage-en-detresse/jai-trouve-un-animal-en-detresse/trouver-un-centre-pres-de-chez-moi/ ou, à défaut, à l’OFB.

Le transport est interdit, excepté dans le cadre exceptionnel du transfert de l’animal au centre de soins le plus proche, et une fois ce centre informé de votre venue.

Nous rappelons que la détention d’un animal de la faune sauvage locale est également interdite en l’absence d’autorisation préfectorale et passible d’une condamnation.