À ce jour, La Tanière accueille un peu plus de 600 pensionnaires. Les sauvetages sont de plus en plus importants et lointains, à l’image des 200 ânes en provenance d’Israël que le refuge s’apprête à accueillir. Les places sont chères, et Francine et Patrick Violas, le couple fondateur de La Tanière le sait, tous les animaux ne pourront pas être replacés. Il faut donc continuer à bâtir mais aussi éduquer les jeunes générations pour que les erreurs d’aujourd’hui ne soient plus celles de demain.